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Revision des Betäubungsmittelgesetzes (BetmG)

Verordnungsveränderungen zur besseren Kontrolle des Hanfanbaus
und des Vertriebs von Hanfprodukten
Ergebnisse des Vernehmlassungsverfahrens


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III. v.

 

  1. Zusätzliche Bemerkungen zu einzelnen Artikeln

     

    Ad Art. 1 (neu) VE- BetmG

    APC: Bien d'élargir le champ d'application de la loi aux substances pouvant engendrer la dépendance.

    CP: La référence à »toute activité en rapport avec des substances pouvant engendrer la dépendance« crée un amalgame médicalement et scientifiquement indéfendable entre les stupéfiants et d'autres substances et produits comme l'alcool, le tabac et les médicaments. En revanche, la référence à la protection de la santé de l'individu, de la sécurité publique et de l'ordre public, ainsi qu'à la lutte contre la criminalité, paraît tout à fait opportune.

    Alle nationalen, regionalen und lokalen Wirtschaftsverbände der Branchen Alkohol, Tabak, Hotellerie, Detailhandel, Werbung, etc.: Geltungsbereich ist auf Betäubungsmittel zu beschränken.

     

     

     

    Ad Art. 1b (neu) VE- BetmG

    Al. 1

    APC: Définition beaucoup trop large, on devrait plutôt mettre »..d'engendrer une dépendance psychique ou physique et d'avoir d'autres effets nocifs...« sinon on inclut aussi, par ex., toutes les substances visées par la loi fédérale sur le commerce des toxiques.

     

     

    Al. 2

    APC:

    Terminologie incompatible avec la définition des Nations Unies: le cannabis doit être mentionné dans la loi car il figure dans l`un des tableaux à l'aide desquels la Convention unique définit les stupéfiants. De plus, elle ne respecte pas la terminologie utilisée internationalement.

    Tautologie de parler de substances qui ont »un effet semblable« car les effets sont déjà caractérisés comme étant »du type«.

    Propose: »Sont des stupéfiants au sens de la présente loi, les substances ayant des effets de type morphinique, cocaïnique ou cannabique et qui engendrent la dépendance, ainsi que les préparations réalisées à partir de ces substances«.

     

    PS: biffer la référence au THC étant donné que la commission d'experts »cannabis« a relevé que le cannabis ne satisfaisait pas à la définition de stupéfiant mais bien davantage à celle de substance engendrant la dépendance (au même titre que l'alcool et le tabac). A défaut d'une légalisation, le chanvre et ses produits dérivés doivent être inclus dans l'al. 1 de l'art. 1b.

     

     

    Al. 3

    APC: par définition une substance est un corps chimique, il faudrait donc écrire: »Sont des substances psychotropes: [...] ainsi que les substances ayant des effets semblables. [...], leurs préparations sont également touchées par la loi«.
    Suggère d'introduire un alinéa supplémentaire assimilant aux stupéfiants les drogues (au sens de la Pharmacopée) contenant des stupéfiants (dans le but d'éviter une interprétation littérale de la loi trop restrictive).

     

     

    Al. 5

    PS: favorable au transfert de compétences au DFI pour dresser une liste des stupéfiants, des substances psychotropes et des précurseurs. Par analogie, désapprouve le fait que ce soit l'Office féd. de l'agriculture qui détermine les semences de chanvre autorisées pour la culture.

     

     

     

    Ad Art. 3b VE- BetmG

    Abs. 4

    HEKS: ergänzen nach dem 1. Satz: "....Der Bund wird aktiv in der produktionsorientierten Präventionsarbeit in Anbauländern und stellt finanzielle Mittel dafür zur Verfügung. Er koordiniert entsprechende Anstrengungen."

     

     

     

    Ad Art. 3c VE-BetmG

    Abs. 1

    AI: Abs. 1 ist um weitere berechtigte Personen zu erweitern: "Amtsstellen, Ärzte und Apotheker sowie weitere berechtigte Personen oder Stellen ..." ergänzen. Z.B. Drogerien und weitere, nich amtliche Stellen (Beratungsstellen).

     

     

    Abs. 4

    FMH:

    Klare Definition der Amtsstellen: Behandelnder Arzt in privater Praxis; Behandelnder Arzt in privater Praxis mit gleichzeitiger Schularztfunktion; Hauptamtlicher Schularzt; Bezirksärzte; Amstsärzte; Kantonsärzte; Arzt in freier Praxis mit nebenamtlicher beratender Tätigkeit für Strassenverkehrsbehörden; Haupt- oder nebenamtlich arbeitsmedizinisch tätige Ärzte für Behandlungen im Rahmen dieser Funktion; Vertrauensärzte bzw. beratende Ärzte von Sozialversicherern; Belegärzte und angestellte Ärzte an Privatspitälern; Chefärzte, leitende Ärzte, Belegärzte, Oberärzte, Assistenzärzte an öffentlichen Spitälern.

    Nicht nur auf Gefährdung des Strassenverkehrs beschränken, sondern ebenfalls den Luftverkehr und Seeschifffahrt einbeziehen.

     

    VSD: Abs. 4 streichen, generelle Meldepflicht genügt.

     

     

     

    Ad Art.3d VE-BetmG

    Abs. 1

    VSD: Hinzufügen: "Sie sind besorgt um die Sicherstellung der notwendigen Einrichtungen".

     

     

    Abs. 3

    VSD: Verbindlicher formulieren, statt "kann" "Der Bund stellt nach Anhörung..."

    VD: remplacer »le Conseil fédéral peut, après avoir pris l'avis des cantons, établir une clé de ré­ partition (...)» par «le Conseil fédéral peut, d'entente avec les cantons, établir (...)«. Par ailleurs, insiste sur la liberté qu'il y a lieu de laisser aux cantons quant au développement de leur dispo­ sitif de prévention et de lutte contre la toxicomanie et cela conformément aux problématiques propres et aux sensibilités cantonales en la matière.

    PS: salue l'introduction du principe d'une clé de répartition entre les cantons, d'autant plus que les traitements résidentiels de personnes toxico­dépendantes ne sont plus financés par l'assurance­invalidité.

    KSK: Unklare gesetzliche Grundlage der Lastenverteilung. Gefahr der Aufbürdung weiterer Lasten auf die Krankenkassen. Finanzierung ist ausschliesslich Sache von Bund und Kantonen.

     

     

    Al. 4

    FR: Dans ce cas-là, ces organisations privées devraient être assujetties au secret de fonction et à la LPD, respectivement aux législations cantonales en la matière.

     

     

     

    Art. 3e VE-BetmG

    AG: Therapien sollen weiterhin wissenschaftlich begleitet werden. Entsprechende explizite Ergänzung im Gesetzesartikel.

    VSD: Verschreibung von Betäubungsmitteln gehört in den 3. Abschnitt (Schadensverminderung und Überlebenshilfe), nach Art. 3g.

     

     

    Al. 2

    APC: Pas souhaitable que le Conseil fédéral fixe les conditions générales de la thérapie de la dépendance et de l'insertion car les moyens sanitaires ne sont pas identiques dans les différents

    VSD: Verbindlicher formulieren. "Der Bund legt nach...."

     

     

    Abs. 3

    VSD: ergänzen: "Er sorgt für geeignete psychosoziale Massnahmen in der Begleitung von Personen, an die Heroin verschrieben wird. Grundlage für alle Massnahmen bildet die Abstinenzorientierung beziehungsweise die Hinarbeit auf den Ausstieg aus der Suchtmittelabhängigkeit".

     

     

    Al. 4

    FR: la norme se veut manifestement une norme de délégation (on voit mal le Conseil fédéral exploiter lui-même les données personnelles). Dès lors, deux situations sont possibles:

    si les données personnelles sont utilisées en vue d'un traitement à des fins ne se rapportant pas à des personnes, notamment à des fins de traitement statistique, de recherche ou de planification, la norme de délégation paraît suffisante.

    si le traitement intervient dans le but de procéder à un examen de qualité dans des cas particuliers, cette disposition est alors insuffisante. Un tel traitement de données médicales doit être réglé matériellement dans une loi fédérale.

     

     

     

    Art. 3g VE-BetmG

    Abs. 2

    PS: ajouter "(...) mise en oeuvre de modèles d'interventions ayant fait leurs preuves, de projets pilotes, de programmes (..)".

    HEKS: Abs. 2: ergänzen: "...Er wird aktiv in der produktionsorientierten Schadensverminderungs- und Überlebenshilfe in Anbauländern und stellt finanzielle Mittel zur Verfügung. Er koordiniert entsprechende Anstrengungen".

     

     

     

    Art. 3k VE-BetmG

    VSD: Private Organisationen miteinbeziehen.

    CVP: Ergänzung von Art 3k mit "... Empfehlungen zur Sicherung von Qualität und Wirtschaftlichkeit...".

     

     

     

    Art. 19 BR1 VE-BetmG

    Abs. 1

    SVP, StAW AG: Anbieten, Anstalten treffen, Besitzen, Vermitteln und Vermitteln der Finanzierung beibehalten. In der Praxis kann oft nur das Anstalten treffen nach kostspieligen und umfangreichen Verfahren nachgewiesen werden. Im Rahmen der internationalen Drogenkriminalität ist der Nachweis der Vermittlung der Drogenfinanzierung oder die anschliessende Geldwäscherei ein Grosserfolg, da diese Personen nie mit den Drogen selbst in Berührung kommen.

    KSBS: Die Fassung des geltenden BetmG wird bevorzugt. Der Verzicht auf "Vermitteln, Anbieten und Anstalten treffen" ist drogenhändlerfreundlich. Einverstanden mit der Streichung der öffentlichen Aufforderung zum Konsum.

    SZ: Streichung Anstalten treffen wird abgelehnt.

    BGer: legt für Bst. f einen Formulierungsvorschlag vor: statt "wer den unerlaubten Verkehr mit Betäubungsmitteln unmittelbar finanziert" "wer den unerlaubten Handel mit Betäubungsmitteln finanziert".

     

     

    Abs. 2

    SVP, StAW AG: beim schweren Fall genügt im geltenden Recht einer der Qualifizierungsgründe. Für Art. 260 ter StGB fehlt Rechtsprechung und Anforderungen für Bande sind viel höher. Reduktion der heutigen Strafandrohung widerspricht dem politischen Willen, den organisierten Drogenhandel effizient zu bekämpfen. Für süchtige Kleinhändler genügt Art. 11/66 StGB.

    KSBS: geltendes Recht ist vorzuziehen, "in der Absicht..." führt zu Beweisschwierigkeiten. Mengenqualifikation soll beibehalten werden, auch die Bandenmässigkeit. Unterer Strafrahmen soll nicht gesenkt werden.

    SZ: Senkung des unteren Strafrahmens wird begrüsst, Cannabis soll ausdrücklich von Qualifikation ausgenommen werden. An Mengenqualifikation soll festgehalten werden. Auf TB-Merkmal der Bandenmässigkeit darf nicht verzichtet werden.

    BGer: weist darauf hin, dass Absicht als Tatbestandsmerkmal zu Gesinnungsbestrafung führt: inwieweit ist das mit dem Grundsatz zu vereinbaren, dass der Täter für das zu bestrafen ist, was er getan hat und nicht für seine Gesinnung.

     

     

    Abs. 3

    DJS, SMS: Fahrlässigkeit nochmals überdenken, da unzulässige Ausdehnung der Strafbarkeit.

     

     

    Abs. 4

    SVP, StAW AG: Bisherige Regelung ist ausreichend. Muss abgeklärt werden, ob Recht des Begehungsortes das mildere ist, dauert das Monate, weil in den meisten Ländern ist Betäubungsmittelstrafrecht Nebenstrafrecht und diese Frage nicht leicht zu klären ist.

     

     

     

    Art. 19a BR1 VE-BetmG

    PS: biffer

     

     

     

    Art. 19c BR1 VE-BetmG

    SVP: Keine erweitere Anwendung des Grundsatzes Therapie statt Strafe. Es soll nicht der überlastete Untersuchungsrichter entscheiden dürfen. Art. 44 StGB genügt.

    PS: Ajouter un alinéa 3, inspiré de la variante CSSS 1: »L'autorité renonce à poursuivre l'auteur pénalement, à le traduire devant un tribunal ou à lui infliger une peine lorsque l'acte et la faute sont de peu de gravité ou lorsque la peine envisagée ne dépasse pas 6 mois et quelle ne semble pas indispensable pour éviter la récidive«.

     

     

     

    Art. 19d (neu) BR1 VE-BetmG

    Al 1

    PS: modifier comme suit, »(...) en raison d'infractions concernant des substances engendrant la dépendance de type cannabis (...)«.

    DSJ: Kantone aus diesem Absatz streichen oder allenfalls ergänzen durch "...nach Anhörung der Kantone und der Städte...".

     

     

    Abs. 2

    DSJ: "Diese sehen vor,...", statt "Diese können vorsehen, ...".

     

     

     

    Art. 19e (neu) BR1 VE-BetmG

    HEKS: Neuer Abs. 3: "Beschlagnahmte Vermögenswerte wegen Verstössen gegen das BetmG müssen zweckgebunden eingesetzt werden für Suchtrehabilitation. Präventions- und Schadensverminderungs- und Überlebenshilfemassnahmen."

     

     

     

    Art. 19d (neu) BR2 VE-BetmG

    KSBS: Etikettenschwindel, es handelt sich nicht um ein Opportunitätsprinzip, da ein zwingender Verzicht auf polizeiliche Ermittlungen und Eröffnung des Strafverfahrens vorgesehen ist.

     

     

     

    Art. 28 VE-BetmG

    Abs. 2

    MPC: La quantité des décisions cantonales adressées au Ministère public de la confédération a considérablement augmenté. 30'000 décisions par année, la plupart concerne des infractions mineures. Situation ingérable. Prière de limiter l'obligation de communiquer des cantons aux décisions présentant un intérêt réel pour la Confédération. Par exemple:«les jugements concernant des affaires pour lesquelles l'accusateur public a requis une peine ferme en raison d'un cas qualifié de grave«.

     

     

     

    Art. 29a (neu) VE-BetmG

    APC: Problème de proportionnalité au niveau des sanctions: inscrire dans la loi la possibilité pour les cantons d'infliger des sanctions administratives dans les cas les moins graves.

     

     

     

    Art. 29e (neu) VE-BetmG

    Al. 2

    PS: le nombre des personnes étaient enregistrées dans le fichier DOSIS laisse à penser que de nombreux »purs« consommateurs, voire des tierces personnes, y ont été également enregistrés aux côtés de purs trafiquants, en d'autres termes, qu'il existe des abus dans l'enregistrement. Par conséquent, ce chiffre devrait diminuer en cas de dépénalisation de la consommation.

     

     

    Abs. 3

    DJS: Meldung an Zentralstelle ist nicht zu verantwortende Einzigartigkeit. Mit der Verordnung über das Opportunitätsprinzip würde dies dazu führen, dass alle Aufgegriffenen in die Datei der Zentralstelle übernommen werden. Dies ist der aktuelle, unbefriedigende Zustand. Ersatzlose Streichung wird gefordert.

     

     

     

    Art. 29f (neu) VE-BetmG

    SGRM: Referenzlabor soll auch die Interessen und Bedürfnisse der nationalen forensisch-chemischen und forensisch-toxikologischen Laboratorien wahrnehmen. Ist heute nicht der Fall.

    KOSTE: Drogenobservatorium soll auch Alkohol und Tabakfragen mit einbeziehen. Vermeidung von Doppelspurigkeiten.

     

     

     

    Art. 136 StGB

    Die entsprechenden Bemerkungen und Vorschläge wurden unter Frage 22 dargelegt.

     


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